Mercredi au Victoria Hall, les abonnés auront peut-être été d’abord rassurés avec le divin Wolfgang. Son concerto pour basson en si bémol majeur a en tout cas été servi par Céleste-Marie Roy avec un tact, une malice et un brio remarquables. Dotée de sonorités rondes, goûteuses, la première basson solo de l’OSR a fait montre d’infiniment plus d’esprit que ses collègues, corrects et sans style.
Follow Me!